Comment s'est développée la génétique à Cibeins : historique

Le niveau génétique actuelle de l’exploitation est le fruit de dizaines d’années de travail et de sélection.

Tout cela a commencé entre 1967 et 1969 avec la constitution d’un troupeau de vaches Francaise Frisonne Pie Noire, inscrit au contrôle laitier. Les 1ères inséminations en taureaux Holstein n’auront lieu qu’en 1973 avec des taureaux issus de l’exploitation de Boulieu (Isère).
En 1981, l’exploitation adhère à l’UPRA avec un pointage moyen du troupeau à 77 points. Cette même année, 2 vaches participent pour la 1^ère fois à un concours national et finissent respectivement 1^ère et 2^ème prix de section.
En 1984, on effectue la 1^ère transplantation embryonnaire sur Sournoise, mère à taureau et à l’origine de la meilleure souche de Cibeins. Cette même vache sera 1^er prix de section à Paris en 1986 et sa fille Alaska ( elle aussi mère à taureau) sera 1^er prix de section à Paris en 1989.
Au début des années 90, on intensifie la transplantation embryonnaire avec l’achat de receveuses viandes et l’exploitation adhère au schéma génétique MIDAGENE.
Entre 1990 et 1996, la production laitière moyenne par vache passe de 10 000 à 11000 kg en développant la souche très laitière de Sournoise grâce aux transplantations embryonnaires et à la fécondation in-vitro (en 1997).

Actuellement, le troupeau est majoritairement composé de descendantes de Sournoise, comme le montre l’arbre généalogique ci-dessous :  

Pour voir l'image plus grande, cliquez ici

Voici, ci-dessous, les arbres généalogiques spécifiques de Roselande :

Pour voir l'image plus grande, cliquez ici

Et Tinette :

Pour voir l'image plus grande, cliquez ici